Les services non assur�s : La SCO a mis sur pied un comit� consultatif pour cr�er un document de r�f�rence sur les frais des services non assur�s. Il ne s'agira pas de lignes directrices mais plut�t d'un �nonc� de principes sur l'�tablissement des honoraires pour les services non assur�s, auquel s'ajoutera en appendice une gamme d'�chantillons de r�f�rence. Les frais disproportionn�s ant�rieurs des lentilles de prestige en Ontario ont incit� le gouvernement � interdire temporairement leur usage. Plusieurs gouvernements nous ont sugg�r� par la suite que ce type de document aiderait � pr�venir des probl�mes semblables � l'avenir.

Les avertissements sur les paquets de cigarettes : La SCO travaille avec Sant� Canada � la cr�ation d'avertissements sur les paquets de cigarettes pour souligner le lien entre le tabagisme et la d�g�n�rescence maculaire. La recherche d'un message visuel appropri� se poursuit.

Les normes de la transplantation corn�enne : Je rencontrerai les autorit�s de la Soci�t� canadienne du sang (SCS) pour discuter des normes de la transplantation corn�enne, maintenant que le gouvernement f�d�ral a confi� � la SCS l'autorit� en mati�re de transplantation d'organes solides au Canada.

L'Alliance sur les d�lais d'attente : La SCO est toujours membre actif de l'Alliance sur les d�lais d'attente (ADA). Ce groupe continue de maintenir le probl�me transversal des d�lais d'attente � l'attention du public par des communiqu�s de presse et des fiches d'information. L'Association canadienne de chirurgie p�diatrique s'est jointe au groupe r�cemment. L'ADA a re�u r�cemment une lettre de f�licitations du Conseil canadien de la sant� qui l'encourage � poursuivre son travail. Les membres de l'ADA sont d'avis qu'il est crucial de maintenir le probl�me devant le public m�me s'il n'y a pas eu d'autre financement � ce sujet au cours des derni�res ann�es - sinon, les gouvernements seront heureux de laisser tout le probl�me s'�clipser de la table. Par exemple, la situation s'est d�t�rior�e r�cemment en Alberta parce que le gouvernement a r�duit les volumes de chirurgie de 15 %.

La participation de la SCO au groupe de travail sur le DME : Merci au D^r Paul Harasymowycz qui a accept� de repr�senter la SCO dans le nouveau groupe de travail de l'Association m�dicale canadienne (AMC) sur le Dossier m�dical �lectronique (DME). L'AMC a form� ce comit� apr�s s'�tre rendu compte que divers comit�s de planification des DME des gouvernements provinciaux et Inforoute Sant� du Canada planifient les r�glementation de DME en fonction des besoins en soins primaires uniquement, ignorant ceux des sp�cialistes. Nous nous sommes vite port�s volontaires dans ce petit groupe de travail pour y assurer une forte repr�sentation de l'ophtalmologie.

L'int�gration des GPC : Merci � la D^re Yvonne Buys d'avoir sugg�r� que la SCO contacte le Comit� d'examen du Coll�ge royal pour l'ophtalmologie afin d'y int�grer le mat�riel des divers Guides de pratique clinique de la SCO dans l'examen du Fellowship. Le Coll�ge royal a accept� et nous avons inform� les directeurs des programmes de cette initiative.

La repr�sentation de la SCO � l'AAO : Enfin, j'ai repr�sent� la SCO � la r�cente r�union de l'Acad�mie am�ricaine d'Ophtalmologie (AAO), qui a eu lieu en octobre 2009, � San Francisco. Ce fut toute une r�v�lation d'entendre la discussion entre les repr�sentants de l'�tat et le conseil de l'AAO au sujet des relations hostiles entre l'ophtalmologie et l'optom�trie aux �.-U. J'esp�re que nous continuerons d'avoir de meilleures rapports avec nos coll�gues optom�tristes au Canada, bien que des d�veloppements r�cents aient soulev� beaucoup d'incertitudes. R�cemment, en Alberta, l'association d'optom�trie a propos� un remaniement de ses statuts afin

1. de lui permettre d'administrer tous les m�dicaments par toutes les voies,
2. de prescrire les radiographies, CT, IRM et examens � l'ultrason,
3. d'�liminer les restrictions de cogestion pour le glaucome et permettre la gestion ind�pendante de cette maladie, et
4. de pratiquer des chirurgies mineures autour des yeux, y compris l'excision des masses et des chalazions et la suture au besoin.

La SCO se joindra � la Soci�t� ophtalmologique de l'Alberta pour contester les changements propos�s, en ce concentrant sur notre perception du meilleur int�r�t des patients.

Il me fera plaisir de vous informer de la progression de ces initiatives lors de notre rencontre au congr�s annuel de la SCO � Qu�bec. Au plaisir de vous y revoir en juin!

• La n�cessit� d'une consultation accrue aupr�s des membres : Nous sommes � mettre au point un sondage qui vous sera envoy� au printemps. Nous voulons savoir ce que vous pensez : ce que vous aimez de la SCO et, inversement, ce qu'il faut am�liorer. L'une de nos priorit�s strat�giques cl�s sera d'accro�tre la valeur et la transparence de nos adh�rents.
• L'augmentation des opportunit�s de perfectionnement professionnel continu (PPC) pour les membres : Vu l'immensit� territoriale du pays, il nous faut multiplier nos ressources (comme la formation en ligne/par la toile) pour faciliter l'acc�s aux cr�dits de PPC. Il faudrait aussi consid�rer prioritaire pour l'organisation le d�veloppement en collaboration d'un plus grand nombre de programmes, de m�me que la liaison du contenu du journal aux cr�dits de PPC.
• L'am�lioration de la Rencontre scientifique annuelle : On a recommand�, cette ann�e, l'ajout d'une s�ance sur les Notions courantes (en portant le nombre � 3) pour permettre aux congressistes de b�n�ficier pleinement de l'expertise de nos conf�renciers. Nous avons aussi entendu que les congressistes souhaitaient accro�tre les opportunit�s de r�seautage et, en gardant ceci � l'esprit, nous avons remani� notre r�ception annuelle (voir plus de d�tails ci-dessous).
• La croissance de l'intercession : Cela aussi retiendra davantage l'attention de la SCO. D�j�, l'ancien pr�sident, le D^r Sherif El-Defrawy, et moi avons rencontr� Conseil consultatif de r�glementation des professions de la sant� (CCRPS) le 11 janvier 2010 pour examiner bri�vement l'�bauche d'un plan de services de soins oculaires pour la province d'Ontario. Selon un mod�le de gestion partag�e actuellement en place en Nouvelle-�cosse et au Qu�bec, le plan pr�voit le d�veloppement d'un Conseil ontarien de la sant� oculaire o� l'ophtalmologie, l'optom�trie, la m�decine familiale et le gouvernement collaboreraient pour satisfaire au mieux les besoins des patients. Cela permettrait un dialogue continu entre les parties prenantes et pr�senterait un mod�le pour les meilleures pratiques. Il en r�sulterait un rehaussement des soins aux patients, une am�lioration de leur acc�s et de leur efficacit�, une meilleure utilisation des ressources et des �conomies substantielles au syst�me. Ce mod�le pourrait �tre �tendu � la grandeur du pays. Merci aux membres de la SCO que nous avons consult�s pour la pr�paration de cette rencontre.
• La poursuite du d�veloppement des Guides de pratique clinique : L'�valuation de l'impact des guides est importante. Jusqu'ici, nous avons r�dig� des guides sur l'examen de la vue, la cataracte, le glaucome et le r�tinoblastome. Nous sommes en voie d'�laborer un guide sur la r�tinopathie diab�tique. Puis, comme notre pr�sident, le D^r Lorne Bellan, le mentionne dans son rapport, le contenu de nos guides sera int�gr� dans les prochains examens du Coll�ge royal.
• Le soutien des r�sidents : Une autre recommandation cl� a port� sur l'�laboration d'un solide programme � l'intention des r�sidents. Voir ci-dessous plus de d�tails � ce sujet dans le Programme des jeunes ophtalmologistes au Congr�s annuel de la SCO, cette juin.

Le d�veloppement de partenariats sera un volet majeur de nos �ventuelles activit�s. La SCO remercie ses partenaires de leur g�n�rosit� soutenue et souhaiterait d�velopper des partenariats avec d'autres parties prenantes afin d'accro�tre le soutien global � l'organisation.

Votre r�action serait fort appr�ci�e alors que nous unissons nos efforts pour mener la SCO � son prochain niveau de d�veloppement. Je vous attends � [email protected].